En attendant une jolie nouvelle...

Ce mois-ci, un nouveau bébé va arriver dans notre bande de copains.

C'est presque autant l'évènement que le premier !
(Si, si, je vous promets, c'est que maintenant que nous sommes entrés dans la quarantaine, ce type d'évènement joyeux se raréfie. Finis pour un temps les mariages, Baby Shower, naissances, baptêmes... nous sommes plutôt dans l'annonce des séparations, divorces et enterrements de nos parents.

Heureusement, d'ici quelques années, ce sera au tour de nos enfants de nous annoncer des bonnes nouvelles (non, non pas d'urgence, je n'ai pas encore hâte d'être grand-mère !).)

Bref, depuis quelques jours, je guette nos téléphones et trépigne d'impatience de recevoir le fameux SMS de la maternité. J'ai bien sûr hâte de savoir que tout s'est bien passé, et j'ai très envie de connaître le prénom qu'ils ont choisi pour ce nouveau bébé.

L'arrivée d'un bébé, c'est aussi pour moi synonyme d'un plaisir shopping devenu rare : je vais pouvoir entrer dans ces boutiques de maternité où je ne vais plus, pour leur choisir un joli cadeau de naissance à leurs envoyer avec nos félicitations !

Et puis ensuite, je guetterai la boîte aux lettres pour voir pour quel faire-part naissance original ils ont opté. Car même si ce faire-part arrive bien après l'heureuse nouvelle (nous concernant comme c'était fait main, on l'a envoyé plusieurs mois après, le temps de découper, coller, tamponner, embosser...), il est super important à mes yeux.

J'adore les faire-part de naissance, j'ai pris énormément de plaisir à confectionner ceux de nos enfants, et j'adore découvrir ceux de nos copains, de styles très différents. D'ailleurs, j'ai une boîte à trésors où ces faire-part de naissance sont tous regroupés ! (bon, une maigre collection à côté de celle de ma gynéco dont le bureau est empli).

Mais cette heureuse nouvelle, c'est aussi pour moi l'occasion de voir que je suis guérie de la maternité, de cette envie de bébé qui me semblait ne jamais vouloir s'arrêter : je suis tout simplement heureuse pour eux, sans me dire qu'est-ce que j'aimerais être à leur place !

Et vous, comment vivez-vous les heureuses nouvelles ?