Le test du porte-manteaux

Il existe une très bonne raison de ne pas arriver en retard en hiver à une réunion qu'elle soit pro ou perso : ne pas être le dernier à charger le porte-manteaux !

Et ce, quel que soit le modèle de porte-manteaux...

Cas n°1 : le porte-manteaux sur pieds.

Quand tu arrives et que le porte-manteaux est déjà chargé à bloc, pour peu que le modèle ne soit pas d'une stabilité phénoménale, tu peux :

* soit passer 1/4 d'heure à étudier où mettre ton manteau qui pèse 3 tonnes pour déséquilibrer le moins possible l'ensemble... Ah mais non, tu es déjà en retard...

* soit poser ton manteau en croisant tous les doigts jusqu'au doigts de pieds, faire ton entrée la tête haute et dire bonjour à tout le monde le plus vite possible avant qu'on entende un grand boum : le porte manteau qui s'est renversé...

Cas n°2 : le porte-manteaux mural

Là encore, c'est le casse-tête si t'arrives et qu'il y a déjà plusieurs épaisseurs de manteaux à chaque crochet.

* Tu essaies de mettre ton manteau super lourd mais il ne tient pas, pire, il fait tomber les autres et tu te retrouves à tout ramasser...

* Ou il tient, youpi !... Mais ta joie est de courte durée : à peine ton entrée faite, le porte-manteaux s'arrache du mur ! Tout est par terre et il y a un trou énorme dans le mur... Oups !

Et le porte-manteaux chargé à bloc, c'est aussi la galère si tu décides de partir le premier et que tu n'es pas arrivé le dernier ! Mais c'est un autre épisode de mes aventures à la Benny Hill !

Et vous, vous avez déjà connu des galères de porte-manteaux ?