Galères de vacances : cette année encore !

Le blog a fêté ses 7 bougies (merci overblog pour le message de rappel !) et je me suis dit que peut-être vous ne saviez peut-être plus le pourquoi du comment du nom de ce blog ?

Dans la vraie vie, j'ai tendance à accumuler les pas-de-bol à coup d'histoires improbables (celle qui achète une boîte de mouchoirs vide mais scellée, à cause d'un problème à l'usine, c'est moi).

Lucky Sophie, c'était donc un moyen de combattre le sort dans la vie virtuelle... parce que dans la vie réelle, je n'ai malheureusement pas trouvé de remède ! D'ailleurs, les galères ne s'accumulent pas que dans la vie de tous les jours, elles nous suivent volontiers en vacances.

Petite consolation, ensuite ça fait des histoires à raconter pour faire rigoler les copains. Comme cette fois où nous nous étions garés sur un parking de supermarché avant de filer directement à la plage voisine et quand nous étions revenus le parking était fermé : impossible de récupérer la voiture avant le lendemain !

Parmi les galères de vacances, nous avons connu la panne de voiture, immobilisée pendant toute la semaine de vacances à cause d'une pièce improbable à commander. Depuis, on s'applique soigneusement à passer la voiture au contrôle technique avant chaque grand départ en vacances.

Cette année n'a pas fait exception à la règle, et nous sommes partis confiants, mais 50 km après la sortie du garage, nous avons eu un message de l'ordinateur de bord : "la voiture sera immobilisée dans 500 km". Evidemment nous avions plus de 500 km de prévus. Retour à la case garage.

On a beau faire des listes, il y a toujours quelque chose qui finit par être oublié soit au départ de chez nous, soit pire, dans la location.

Il faut dire que les enfants qui ressortent quelque chose des bagages pour jouer, ça ne facilite pas la tâche !

Cette année, nous n'avons qu'un oubli de pyjama à déplorer, P'tit Lucky l'avait remis sous l'oreiller parce qu'il ne voulait pas partir et dormir là une nuit de plus !

Les retards d'avion, cela nous arrive assez fréquemment, habituellement entre 30 minutes et 1 h 30. Cette année, pas de chance, c'était carrément reporté au lendemain ! (après une loooongue attente à l'aéroport le jour J).

La compagnie nous a d'office donné un dépliant pour demander une indemnisation : en effet, depuis 2009, les passagers de vols subissant plus de 3  heures de retard peuvent bénéficier d'indemnités forfaitaires : 250 € pour les vols de moins de 1 500  km, 400 € pour ceux de 1 500  à 3 500  km et 600  € pour les distances supérieures (règlement CE n° 261/2004).

Il existe des sociétés qui vous proposent d'effectuer ces démarches à votre place en prélevant une commission, mais sur le site d'easyjet, le formulaire était très simple à remplir, avec seulement des informations de base sur les vols et les coordonnées bancaires. Maintenant, j'attends de voir ce que ça va donner !

Autre info utile : à Lyon, si vous réservez votre parking en indiquant votre numéro de vol et que celui-ci a un retard, le parking ne vous facture pas la durée supplémentaire du retard. C'est plutôt sympa, je ne sais pas si d'autres aéroports le font ?

Il y a toujours quelque chose qui ne résiste pas aux vacances, j'avais déjà eu la paire de chaussures qui se casse en deux, la sandale dont la bride s'arrache, cette année, j'ai innové avec la semelle de la chaussure de randonnée qui se décolle complètement en plein milieu d'un terrain accidenté. Ce jour-là, à la place des bouquetins, les visiteurs ont eu le loisir d'admirer une drôle de dame faisant de la randonnée à cloche-pied !

Je vous raconte surtout les petits tracas dont on peut rigoler après coup, le vol de portefeuille est lui malheureusement beaucoup moins drôle : 5 secondes d'inattention, 3 mois de démarches pour refaire tous les papiers et cartes.

Et vous, vous êtes du genre à avoir la poisse ou pas ?