Entre art et parcours nature, le Vallon du Villaret

C'est sans doute l'une des plus lointaines destinations de sorties familiales proposées par le guide lyonnais Récréabulles. A mon sens, on ne fait pas les 2h50 de route de Lyon aller exprès, mais certains motivés viennent de plus loin paraît-il. En tous cas, si on a envie de passer un week-end au vert, alors c'est une bonne idée de destination.

Un labyrinthe en pleine forêt où le regard en l'air du promeneur saura le faire sourire !

Le Vallon du Villaret, c'est une sorte de parc d'attractions nature et artistique, très différent donc de ce que le mot sous-entend.

En pleine nature, se succèdent des parcours et des expériences artistico-ludiques.

Il y en a beaucoup, et si je n'ai pas trouvé toutes les oeuvres sensationnelles, certaines resteront longttemps gravées comme un super souvenir dans ma mémoire. C'est suffisamment varié pour plaire à tous et d'ailleurs on a croisé des visiteurs de tous les âges.

Toi tu saurais résister et ne pas regarder dans les trous où il ne faut pas ?

Tu fais bien, il n'y a rien ! Mais parfois si...

Tout au long du parcours, il y a le suspens du "sur quoi on va tomber maintenant ?", l'étonnement de la découverte, l'envie de comprendre comment ça marche, le plaisir de faire et refaire quand on a le coup de coeur comme les jeux de boules dans les airs,

le matelas d'eau sur lequel on marche,

  ou ces formidables jeux d'eaux gigantesques.

On passe de l'étrange sensation de marcher sur ce filet au-dessus de la rivière

à des photos humoristiques plantées en pleine nature

à cette installation où tous, petits et grands, se précipitent pour mettre des billes dans les trous, billes qui actionnent des systèmes musicaux en tombant. Juste génial !

Il y a franchement de quoi y passer la journée, on peut même prévoir maillots et serviettes pour la rivière à traverser avec une corde à la Tarzan.

Des tables de pique-nique sont à disposition à peu près à mi parcours et si nous n'avions pas dû hâter notre retour pour cause de pluie, je crois que nous aurions eu bien du mal à en partir !